Certaines définitions du journalisme et donc, du journaliste ne sont pas précises, puisqu’elles affirment que « le journalisme consiste principalement à recueillir des informations sur un événement de l’actualité ou sur un sujet particulier (en consultant les dépêches des agences de presse, en interrogeant des spécialistes ou des témoins, et en s’appuyant sur différentes sources), et à écrire des articles ou à publier des reportages (écrits, audio, photo ou vidéo) dans un journal ou un magazine, dans une émission de radio ou de télévision, sur Internet ou dans d’autres médias de masse »
• Cette définition ne précise le rôle du journaliste dans la société.
• Elle ne précise pas, non plus, l’obligation de neutralité.
Selon Armande Saint-Jean, professeur au département des lettres et communications de l’Université de Sherbrooke, il existe des critères déontologiques qui précisent que l’éthique journalistique repose sur les principes suivants :
• objectivité : faire abstraction de toute influence provenant de son milieu
• impartialité : faire preuve de neutralité dans le traitement de l’information
• Intégrité : ne pas user de ses écrits ou paroles pour servir un intérêt personnel
• respect des droits fondamentaux : garder le secret professionnel, proscrire le plagiat.
Métier noble, il doit respecter ces règles déontologiques de manière stricte, il doi aussi éviter aussi toutes déviance négative telles que
• La diffamation
• La provocation directe ou indirecte de crimes et délits
• L’incitation à la désobéissance
• L’offense aux institutions de la république
• Les différentes formes de tentations notamment financière, ou autre…)
• La corruption
• Etc…